dimanche 28 octobre 2012

INTROUVABLE


   

Titre:
  Introuvable
Réalisateur:
  Gregory Hoblit
Année de parution:
  2008
Genre:
  Suspense psychopathologique

Synopsis
Jennifer Marsh est une agente du FBI qui travaille dans le département de la cybercriminalité. En circulant sur la toile, elle et son partenaire de travail découvre un site où un chat est mis à mort en direct. Plus le nombre de visiteur du site augmente et plus le chat meurt vite. Un peu plus tard c'est un homme qui a pris la place du chat devant les caméras. Le nombre de visiteur augmente encore plus rapidement. Jennifer et son équipe mène des investigations pour arrêter ce meurtrier, qui vraisemblablement agit dans leur ville. D'autres victimes se retrouve sur le site, mais quand est-ce que ça va s'arrêter. Malgré l'horreur, plus en plus de gens visite le site et les victimes meurt de plus en plus vite. Plus l'enquête avance et plus l'étau du meurtrier se resserre sur Jennifer. Auraient-ils été mieux de garder le silence...

Critique
WOW!! Quel belle critique de la curiosité du sadisme de notre société actuelle. Aujourd'hui les gens sont tellement en manque de sensation forte qu'ils cherchent les vidéos comme ceux là. Pensons juste à la vidéo de Rocco Magnotta qui, une fois mentionnée dans les médias, a eu des visionnements énormes. On retrouve également une critique contre les médias qui permettent une plateforme publicitaire incroyable pour ce genre de sensationnaliste. Malgré quelques scènes dégoûtantes (coeur sensible s'abstenir) l'idée derrière tout cela est excellent. Où va notre société?? Voici la question qui a résonné dans ma tête durant toute la durée du film, parce que même si cela est un film, il y a une part de réalité très troublante.

Ma note : 4.5/5 

Film à voir pour sa critique de la société, mais coeurs sensibles s'abstenir, car on ne cache aucun détail des meurtres.

Reste Cool



Titre: 
         Reste Cool
Réalisateur: 
             Michael Polish
Année de parution:
                          2012

Style: 
             Comédie
Synopsis:
Henry McCarthy était un «geek» lors de son secondaire. Après cette période, Henry écrit un livre sur ce passage de sa vie, en particulier sur sa vie amoureuse avec Scarlet Smith. Ce livre devient un best-seller et même si personne dans sa ville semble l'avoir lu il retourne là-bas pour faire le discours de fin des finissants de l'année. Son retour dans la ville le ramène dans le passé et lui rappelle des souvenirs qu'il préfèrerait oublier.

Critique:
Le film est très bon, l'histoire est amusante et le personnage se retrouve dans des situations pas possible. Les acteurs sont excellents et très cocasse. Par contre, la fin nous laisse vraiment sur notre appétit de spectateur. Alors qu'on s'attend à quelque chose, il ne se passe rien et cela est un peu décevant. En même temps, si le film terminait avec la fin que l'on attend, ce serait un autre de ces films Hollywoodiens qui se termine tous pareil.

Comment pourrait-on changer la fin pour que l'on en soit satisfait sans qu'elle devienne cliché??
                       Bonne question !

Ma note : 3.5 /4

vendredi 19 octobre 2012

Le backlight

J'ai récemment réalisé l'importance de la lumière au cinéma, mais également dans la vie de tout les jours. Tous ce qui est filmé, photographier ou même peint doit être bien éclairer si l'on veut avoir un résultat tape à l'oeil. Ainsi la lumière appelé «Backlight» devient un élément important pour donner l'impression que le sujet est détaché du fond et n'en fait pas parti. Voici 5 exemples de backlight utilisés dans le vidéoclip «Fucking Perfect» de Pink. J'aime beaucoup ce vidéoclip en particulier pour le message qu'il livre ainsi que la conception de celui-ci.


Premier backlight 0:16

Ici le personnage principale de l'histoire du vidéoclip est couché dans son lit avant de revoir toute sa vie en souvenir comme un vidéo projeter sur le mur.
Le backlight détache bien le personnage du reste du lit et nous fait penser que dans le hors plan il y a peut-être une fenêtre où plombe la lune et que c'est cela qui éclaire son épaule et le côté de son visage et permet de bien détacher le personnage du reste de la scène.


Deuxième backlight  1:11
Le deuxième backlight est lors d'un souvenir où le personnage sort habillé de façon un peu gothique, «emo» et que sa mère lui dit d'aller s'habiller autrement. Le backlight vient de la fenêtre derrière la mère. On comprend assez clairement qu'il y a également un projecteur derrière l'espace de la fenêtre, car il n'y  a pas beaucoup de maison dont le soleil tape ainsi dans la fenêtre. L'effet est tout de même la on a l'impression que la mère est en trois dimensions et qu'elle est devant le décor et non derrière.

Troisième backlight 2:40
Ici la lumière ne met pas vraiment l'emphase sur le personnage, mais plus sur le bras du personnage. Cette mise en évidence est compréhensible lorsqu'on sait que la jeune fille vient de s'ouvrir les veines et que dans sa main elle tient encore la lame de rasoir.
Voila la preuve que la lumière ne sert pas seulement à distinguer un personnage du décor mais peut également accentué un élément important du plan.

Quatrième backlight 3:45
on est de retour dans la chambre à couché du tout début et on réutilise le même effet d'éclairage (l'apparence de lune qui est filtré pas la fenêtre). Sauf que cette fois  le reflet est sur l'épaule de l'homme qui enlace notre personnage.






Cinquième backlight 
3:54 et 1:07




Ici ce que je trouve intéressant c'est que la lumière est vraiment ciblé sur un endroit bien précis. Ainsi le corps semble intégré au décor, mais pas la tête. La lumière est concentré au niveau de la tête et laisse le reste dans l'ombre un peu banal. On peut croire que cette effet est la pour mettre l'accent sur les sentiments et les expressions du caractère centrale.




Autre jeux de lumières intéressant dans ce vidéoclip:

On joue beaucoup avec l'amorce pour représenter les souvenirs, mais également avec la lumière.
Ainsi, lorsqu'on est dans un souvenir où l'éclairage est bien organisé et ressort les personnages du décor, souvent quelque secondes plus tard on tombe dans une image flou ou les personnages sont devenus le décor sur les murs.
Ex.:
Donc dans la scène de dispute l'éclairage met bien en relief la mère et sa fille.







Par contre, quelque seconde plus tard on déforme un peu l'image pour la rendre sans aucune dimension. On semble avoir enlever tout les effets réalisés avec l'éclairage. Il n'y a donc plus de relief.









De mères en Filles








Le film:

Titre: De mères en filles

Réalisateur: James Hayman

Année de parution: 2009






Synopsis

Katie entre à l'université avec sa meilleure amie Sara. Elles doivent choisir dans quelle club étudiant elle veulent aller. Pour Katie tout est claire, c'est la maison Delta Beta Theta qui a son coeur, puisque cette maison à été fondée par sa mère et sa meilleure amie Summer. Par contre, lors de la période de recrutement Katie découvre une autre maison qui partage plus ses valeurs: les Kappas. Elle fait une demande au deux, mais après avoir découvert la méchanceté et les manigance de Gwen (la fille de Summer) pour les Delta Beta Theta Katie la dénonce au comité d'éthique qui annule le bal des Delta. Pour se venger Gwen fait de la vie de Katie un enfer qui trouve refuge chez les Kappa avec qui elle va écraser les Delta à la compétition des sonorités.



Critique
Film beaucoup trop hollywoodien, petite histoire qui finit bien et dont on est capable de deviner la fin très tôt dans le film. Pas beaucoup de rebondissement imprévisible, mais le film est tout de même distrayant. Il ne faut pas partir avec une grosse attente, c'est un film pour décrocher un petit vendredi soir tranquille, mais c'est loin d'être un chef d'oeuvre. Histoire cliché et sans réel désir de changement.

The Master (Le maître)


Le film
Titre : The Master (version française : Le Maître)
Réalisateur : Paul thomas Anderson
Année de sortie : 2012

Synopsie
Freedie Sutton a vécu la guerre, il y a appris à se faire son propre alcool et, depuis qu’il est revenue dans son pays, en abuse beaucoup trop. Il est une de ces âmes égaré qui ne savent plus pourquoi ils sont sur terre et devient agressif lorsqu’il est saoul. C’est dans ce piteux état qu’il se retrouve sur le bateau de Lancaster Dodd un écrivain, médecin,  physicien nucléaire et philosophe théorique qui décide de prendre Freedie sous son aile. La famille Dodd étant à la tête d’une religion apparentée à la secte ‘’The Cause’’ convertisse Freedie à leur façon de penser. Ce dernier bien que sympathique au mouvement leur pose quelque ennui. Le film illustre l’ascension de cette religion tout en traitant de la psychologie fragile d’un soldat revenue de guerre. À travers une famille un peu marginal, Freedie tout aussi marginal apprends une nouvelle façon de vivre et de gérer sa colère.

Éléments du langage (5)
1.    Plan séquence
Juste avant il fuyait ses collègues de travail et voilà que dans cette scène le pauvre Freedie est une fois encore ivre. Il déambule au bord du quai et la caméra suit sa balade nocturne qui nous amène jusqu’à un bateau de grande classe où les passagers festoient. Le bateau contraste avec l’état lamentable de Freedie qui est ivre et sur le mauvais chemin. Si le plan séquence avait commencé au début de sa petite marche au port il se termine très nette lorsque la caméra semble être attiré par l’intérieur du bateau. On apprend par la suite que Freedie est monté sur le bateau et y a dormi.

2.    Champ contre champ
Il y a plusieurs champs contre champ dans le film, mais les plus marquants sont ceux où Freedie est en thérapie. Le premier de ces trois plans (lors des thérapies) est durant la thérapie informelle entre Lancaster et Freedie à la première journée sur le bateau de ce dernier. La caméra va-et-vient entre Lancaster et Freedie. Lorsque Lancaster pose une question on voit Lancaster et lorsque Freedie répond la caméra vient insister sur le visage et la réponse de l’ex-Soldat. Ensuite on retrouve le même principe lors de sa thérapie à Philadelphie ou la femme de Lancaster, pour travailler la concentration de Freedie, lui demande des questions par rapport à sa couleur de ses yeux. La personne qui pose la question est à l’écran et lorsque l’interrogé répond c’est lui que l’on retrouve en dans le plan. Le dernier plan marque également la fin de la relation entre Freedie et Lancaster. Alors que Freedie est à Londres à la nouvelle école de ‘’la cause’’ il rencontre Lancaster avec sa femme (Mary Sue Dodd) dans son bureau. Après quelques remarques désobligeantes de Mary Sue à l’égard de Freedie, celle-ci à quitter le bureau tout de suite après, Lancaster s’entretient avec Freedie. Lors de cette entretient (que je considère un peu comme la dernière thérapie, car Lancaster agit comme un psychologue qui va laisser son patient par la suite) le même principe, que dans les deux scènes précédente, est utilisé : la caméra va-et-vient au rythme de la conversation pour mettre l’emphase sur la réaction de la personne qui parle.

3.    Effet de Reflet
Après une soirée bien arrosée, où Lancaster à chanter accompagné au piano et au violoncelle, les époux Dodd sont seuls dans la salle de bain. Mary Sue ayant vue le signe de son mari envers Freedie avertit son mari qu’il peut faire ce qu’il veut en autant que ni elle ni quelqu’un près d’elle le sache. Elle lui interdit donc de reboire de l’alcool de Freedie. Dans cette scène on comprend bien que le maître n’est pas Lancaster, mais bien Mary Sue qui le contrôle totalement. Tous ces avertissements sont donnés alors que Mary Sue masturbe Lancaster.

4.    Plan grand ensemble
Alors que Lancaster semble s’égarer mentalement et que Freedie est toujours aussi perdu, Lancaster amène sa fille et son époux ainsi que Freedie dans le désert. Lorsque la scène débute on a droit à un plan grand ensemble époustouflant avec au centre la camionnette précédé de la moto de Lancaster. Lancaster va inventer le jeu ‘’Take a point’’ il indique qu’il faut choisir un point dans le paysage et rouler à toute vitesse sur la moto sans jamais dévié de sa trajectoire. J’ai trouvé cette scène très démonstrative puisque les personnages sont perdus dans le désert et que j’y ai vu une belle allusion à leur état mental un peu perturbé et perdu.

5.    Plan en Overhead shot
Au début du film, lorsque les soldats reviennent en bateau, il y a un overhead shot de Freedie coucher en haut du bateau, la tête dans le vide, et de ses compagnons qui lui lancent des objets sans l’atteindre. Donc, déjà au tout début on a une idée de la fragilité psychologique du personnage. De chaque côté du bateau, en particulier à gauche, on peut voir l’océan bleu qui s’agite autour du bateau. Cette vision de l’océan est reprise à plusieurs endroits dans le film, mais sans vraiment être expliqué. À mon avis, ce plan ramène Freedie à ses souvenirs du passé, il était matelot et c’est cette époque de sa vie qui l’a marqué à ce point, mais ce n’est que mon interprétation.

Critique
J’ai bien aimé ce film, un peu troublant, mais tout de même riche en histoire, en psychologie et en langage cinématographique. Il y a eu un vrai travail autant pour les comédiens, qui incarne des personnages assez spéciaux, que pour le réalisateur qui nous en met plein les yeux avec des plans de paysage à couper le souffle. J’ai également aimé le voyage qu’on effectuait en même temps que les personnages, comme si on était avec eux. J’ai vraiment embarqué dans l’histoire à un point tel ou j’en ai oublié les sous-titres et les gens autour. J’avais été informé de la critique envers la scientologie et je l’ai bien retrouvé dans le long-métrage, mais je crois que c’est un fait qu’il est bon de savoir avant de regarder le film puisqu’il nous pousse à voir le film autrement. J’ai trouvé que chaque élément était bien structuré et me rejoignait dans sa façon d’être présenté. Si certain ne se sont pas senti interpellé par ce film ou y ont trouvé quelque longueur ce ne fût pas mon cas qui, malgré l’originalité du récit, à totalement embarqué dans le film. C’est pourquoi je donne une note de 5/5 à ce film qui m’a totalement chaviré.

lundi 15 octobre 2012

Le Sixième Sens de Night Shyamalan

Titre: Le sixième sens
Réalisateur: Night Shyamalan
Année de parution: 1999




Synopsis 

Le docteur Malcolm Crowe est un psychologue pour enfant très réputé de Philadelphie. Par contre, un ancien patient, Vincent, vient assombrir cette belle carrière en se suicidant et décrétant que Malcolm n’a pas su l’aider et l’écouter. L’automne d’après, Malcolm rencontre un petit garçon nommé Cole Sear (Haley Joel Osment), qui présente des symptômes similaire à Vincent, et décide de l’aider pour se racheter auprès de son défunt patient. Peu à peu une confiance se crée entre le docteur et le jeune garçon qui finit par lui révéler son secret. Cole voit des spectres comme s’ils étaient de vrai humain. Pour Malcolm, ce jeune homme introverti et apeuré est atteint d’un type de schizophrénie juvénile et il commence à penser devoir l’interner. Cette pensé ce dissipe lorsque Malcolm réécoute les cassettes d’enregistrement des séances du jeune Vincent et y entend un spectre parler. Les spectres existent donc et le jeune Cole les voit réellement tout comme Vincent les voyait. Malcolm va donc aider Cole à accepter les fantômes dans sa vie et va pousser le garçon à les aider pour qu’ils disparaissent. Malcolm est également aider par Cole sans le savoir et, grâce au jeune homme, va découvrir quelque chose sur lui qu’il ne savait pas.



Gros Plan
Le film débute avec un gros plan. Le gros plan d'une ampoule qui s’allume très lentement sur une musique plus ou moins rassurante. Ce plan jumelé à la musique annonce le type du film. En effet, cette petite scène commence de façon inquiétante avec la musique, mais plus l'ampoule allume moins c'est inquiétant (attention l’inquiétude est toujours présente, mais moins accentué avec la luminosité de la lumière). je crois que cela reflète bien le film et la vie du petit Cole. Le jeune garçon, au début du film, est totalement apeuré par les esprit qu'il voit et plus le film avance moins il en a peur. Ce gros plan peut en effet ressembler à une prolepse métaphorique du film.

Champ-contre-champ
Lors de la deuxième rencontre entre Cole et le docteur le docteur propose un «jeu» à Cole: il essaie de deviner ce qu'il pense s'il a bon Cole fait un pas en avant et s'il l'a faux un pas en arrière. La caméra va de champ contre champ vers le docteur lorsqu'il pose la question et vers Cole lorsque celui-ci répond. Cette façon, à mon avis, apporte une distance entre le jeune et le docteur comme s'ils n'étaient pas dans la même pièce ou très loin l'un l'autre.

Travelling Avant
Très très lent il avance vers le père du premier esprit que Cole aide. Le père regarde la vidéo où il voit sa femme mettre du poison dans l'assiette de sa défunte fille. Lorsque la caméra montre le désarroi du père elle avance très très lentement vers son visage afin de créer un impression que tout va au ralentit tellement il est sous le choc.

Effet de Portail
Il y a deux effet de portail majeur dans le film. C'est deux effet s'effectue lorsque la vidéo du mariage de Malcolm et sa femme joue seul lorsque Malcolm rentre à la maison (et que sa femme est dans la douche) et lorsque sa femme écoute cette vidéo endormie sur le sofa à la toute fin. La vidéo apporte un aspect très nostalgique au film et met la puce à l'oreille face à l'élément «punch» dévoilé à la toute fin.

Effet de Reflet
Cette effet est très présent dans le film et vient également mettre la puce à l'oreille face au dénouement. On retrouve, entre autre, l'effet de reflet lorsque Malcolm se rend dans la salle de bain, après avoir vu le film du mariage sur sa télévision, et que le miroir reflète sa femme dans sa douche. Autre plan, qui n'a pas lien avec le dénouement, lorsque le petit Cole remet la cassette de la petite décédé au père de celui-ci. En ouvrant la boîte on voit la cassette dans le miroir du couvercle. Fait à remarquer: chaque fois qu'il y a un miroir on ne voit jamais Malcolm dedans le miroir est toujours placé pour ne pas le voir... Réfléchissez-y!

Apparition de Night Shyamalan
Le petit Cole vient de sortir du donjon où il a été enfermer par deux camarades de classe et sa mère l’emmène chez le docteur. Ce docteur est interpréter par le réalisateur Night Shyamalan qui aime bien apparaître dans ses propres film comme on a pu le constater dans le film Unbreakable.

Critique
Le film est extrêmement bien réalisé. Le sujet est bien apporté et ne tombe pas dans les «clichés» des films de fantôme. Par contre, il n'est vraiment pas mon type de film. J'ai su apprécier le film par son aspect technique, mais je n'ai jamais raffolé des films de spectre et/ou de peur. Je le recommande tout de même aux amateurs de cette catégorie cinématographique.