Résumé
Un chat habite à Alger avec un Rabbin et sa fille. En
mangeant le perroquet le chat trouve la parole. Celui-ci veut faire sa
barmitsva, mais le Rabbin dit qu’il ne peut pas puisqu’il n’est pas un être
humain. Le chat tente d’aider le Rabbin à passer un test de français et le chat
perd la parole et est à nouveau traité comme un animal jusqu’à ce que le Rabbin
reçoivent une boite remplit de livre russe. À l’intérieur de la boite ils
trouvent un Russe évanoui. Ce russe est un peintre et va amener le rabbin, le
chat, le russe du village et un ami du rabbin faire un périple de voiture pour
trouver un Jérusalem où il n’y a pas de préjugé. Entre temps le chat retrouve la parole pour
le grand voyage et sert d’interprète.
Critique :
Il y a longtemps que je n’avais pas vue un film comme
celui-ci. Non seulement parce que c’était en dessin animé, mais également parce
qu’il était engagé, il dénonçait certains problèmes de société, mais de façon légère.
En effet j’ai bien apprécié la façon donc le film apporte une critique sur les
guerres actuelles, même s’il se passe dans les années 1920. Les graphiques
ainsi que la réalisation étaient excellente, malgré certaine petite longueur. Les dialogues entre les personnages ainsi que
les dessins étaient excellent, mais il y avait p-e un peu trop d’emphase sur la
route et pas assez sur l’action qui se déroulait tout au long de la route.
Les plans grands ensembles
Tout au long du film il y a plusieurs plans grands ensemble.
En fait presque qu’à chaque fois qu’ils
arrivent dans une nouvelle ville on nous présente la ville dans ce genre de
plan. Je crois que ceci permet au spectateur de faire un parcours rapide de la
ville avant d’y entrer.
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